Libéré après 16 mois de détention provisoire pour avoir abattu de sept balles un homme chez sa grand-mère, le policier Éric G. divise les versions. Son avocat dénonce un jeune homme brisé par cette épreuve, tandis que la partie civile conteste fermement la légitime défense invoquée. Une affaire qui continue de faire polémique en attendant le procès.

Seize mois après son incarcération pour homicide volontaire, Éric G. a retrouvé la liberté ce lundi 3 novembre. La cour d’appel de Paris a confirmé la sortie de prison de ce policier de 26 ans, affecté en Seine-Saint-Denis, qui avait abattu de sept balles un homme dans le garage de sa grand-mère.
Cette libération marque un tournant procédural majeur dans une affaire qui continue de diviser. Le fonctionnaire avait essuyé sept refus de mise en liberté consécutifs depuis son placement en détention provisoire, témoignant de la complexité juridique du dossier.« Ces 16 mois auront été terribles pour …
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